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Expositions photographiques disponibles en location

Expositions photographiques déjà produites et disponibles à la location


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Urbanités

Le réflexe d’un photographe arrivant dans un lieu pour la première fois est bien sûr de photographier ce qui lui semble intéressant. Mais à quoi bon reproduire parfois en moins bien des clichés de cartes postales ou de dépliants touristiques ! La question se pose alors : Que photographier ? et sous quel angle ? pour que la photo devienne intéressante.
Souvent, lorsque j’arrive pour la première fois dans une ville, je n’ai consulté au préalable aucun guide, ni même quelques informations. Alors commence une découverte sans aucun a priori. La visite aléatoire du centre ville et des différents quartiers permet de cerner l’ambiance générale. La circulation, les gens, les commerces, les odeurs, tout cela va contribuer à dégager une certaine atmosphère. C’est justement cette atmosphère que j’essaie de retranscrire à travers mes photographies. Et, au bout d’un certain temps, je commence à photographier réellement, et à me documenter sur l’histoire, la situation économique et politique de la ville.
… Une quarantaine de villes photographiées en dehors des sentiers battus et où l’humain est toujours présent.

Fiche technique

Nombre de tirages : 15 à 50 en fonction du lieu
Format : de 30x45cm à 60x90cm
support : Impression jet d'encre. Tirages contrecollés sur dibond
Linéaire : 20 m
Prix de la location : à partir de 700€ / semaine et 2000€ /mois
Valeur d'assurance :3500€
Transport : 2 caisses en bois
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30 secondes à la plage

30 secondes, c’est le temps pendant lequel, l’obturateur de l’appareil photo reste ouvert. Le capteur enregistre ce qui est fixe, les bâtiments, les rochers et le sable, mais aussi tout ce qui bouge. C’est le temps pendant lequel un homme parcourt une trentaine de mètres, un nageur se déplace sur une dizaine de mètres, les vague déferlent environ 7 fois sur le sable en lassant de l’écume blanche.
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Le vieux capitaine

83 ans. Une peau qui a vieilli joliment. De belles mains, sculptées par le temps et le métier de marin. C’est l’occasion pour moi de réaliser un travail photographique sur l’homme ayant accompli l’essentiel de sa vie. L'homme se dévoile peu à peu. D'abord la tête. De son visage, il ne laisse apparaître qu'un oeil derrière le grillage qu'il forme avec ses doigts ...
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Transplantation

A l'origine de ce travail photographique, deux voyages et deux visites émouvantes : le musée des esclaves à l'île de Gorée, (Sénégal), et, quelques jours plus tard, le musée de l'immigration à Ellis Island, New York, (USA). A Gorée, du «matériel humain», prélevé parmi différentes peuplades, attend d'être « transplanté » sur d'autres continents. A Ellis Island, des volontaires, arrivant d'Europe par millions, espèrent obtenir le droit de s'installer en Amérique. Dans les deux cas, hommes, femmes et enfants sont triés: seuls les «meilleurs» sont sélectionnés. Les autres, trop âgés ou malades, sont laissés sur leur sol ou refoulés vers leurs pays d'origine.
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Universatis

Une série photographique qui porte un regard sur des étudiants, des enseignants et chercheurs, des personnes provenant de différentes nationalités, qui viennent à l’Université pour se former, s’enrichir intellectuellement et y apporter leurs expériences.
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Attente pour ailleurs

Au moment d'accomplir un voyage, on pense d'abord à son objectif principal, ces moments de rencontre, de visite, de découverte, tous ces instants pour lesquels le voyage a été entrepris et décidé. Ce sont ces périodes d'activité qui seront racontées au retour, feront l’objet de reportage, de compte rendu. Mais, pour parvenir à ce résultat, il faut aussi subir toutes ces périodes d’inactivité obligée. Elles sont nombreuses et longues, surtout lorsqu’on utilise les moyens de transport collectifs.
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Des cartes et des territoires

Dans les années 1970, mes parents nous emmenaient en voiture, mes sœurs et moi, l’été en vacances au Portugal. Quatre journées entières de route étaient nécessaires pour rejoindre l’Algarve à partir de Saint-Malo. Il n’y avait que des voies classiques à double sens, et on devait traverser toutes les villes et villages. Tout au long de cette route, les commerces étaient florissants. La vie économique dépendaient largement du trafic routier, qui n’avait pas d’autre choix que d’emprunter la route nationale 137. Cinquante ans plus tard je retourne photographier cette route qui est devenue une desserte locale...
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